Ce qui se trame (Mars)
Le mois de mars me donne envie de dire : « Bon, ça commence ! » J’ai l’impression de finalement sortir de mon cocon et commencer à présenter mon travail. Le premier concert de Zéa Calla de l’année était le 28 février, puis j’ai été invité à faire deux chansons lors d’un événement féministe le 7 mars et à présenter une collaboration avec Fantômes lors de son concert le 8 mars. J’ai aussi reçu d’autres invitations, mais rien de concret encore. Je dis “oui” à tout, j’attends toujours la prochaine aventure.
Zéa Calla & Zéa Beaulieu-April
Il y a dix ans, je publiais Goulka, un recueil de poésie à la couverture complètement noire et au contenu plutôt sombre. J’ai décidé de célébrer cet anniversaire en mettant les poèmes en musique et en créant un concert. Comme par hasard, mon amie Mélissa Labonté préparait la même chose de son côté, pour le premier anniversaire de son recueil Scaphandre. Comme par hasard, les deux anniversaires tombaient en mars. L’événement aura lieu le 26 mars au Système. C’est à ne pas manquer, parce que c’est probablement un “one time deal”. On va danser sur la Plaza St-Hubert. Qui est Goulka?
J’aimerais dire que l’écriture de l’essai, qui concerne aussi Odile’s Snake, avance bien, mais j’ai péché. C’est un péché classique d’écrivain. J’ai lu trop de livres et d’articles, j’ai fait trop de recherches, j’ai pris trop de notes, j’ai écrit trop peu. Je devais remettre une version de 25 000 mots à mon éditrice début mars. Je suis à 17 000. Mes dernières sessions d’écriture se sont bien passées, mais je ne fais pas vraiment plus de 1000 mots par jour… Réalistement, j’aurai un bon mois de “retard”.
Qui?
Le mois de février était un mois de déplacement et d’aventure à l’extérieur de Montréal. Le mois de mars est un mois de travail intense pour des projets créatifs qui me tiennent énormément à cœur.