Ce qui se trame (JAnvier)

Je viens tout juste de rendre ce site web accessible. C’est notre secret.

C’est une drôle de période pour moi. J’ai terminé mon doctorat il y a deux mois, j’ai quitté mes deux jobs, je me suis lancé dans le vide. Je n’ai pas le vertige, j’attends ce moment depuis longtemps. Beaucoup de projets m’attendaient et je peux maintenant m’y mettre.

Sous le béret de Zéa Calla, j’ai trois collaborations en chemin. On devrait entendre parler de la première d’ici la fin de l’hiver, peut-être au printemps. Les deux autres sont encore en travail. Je ne crois pas que ces artistes vous surprendront beaucoup, c’est des personnes avec qui j’ai déjà travaillé ou avec qui j’ai déjà partagé une scène. Je vous laisse deviner. D’ici là, au cas où vous ne l’auriez pas encore entendu, je vous dirige vers cette collaboration avec Steven Doman qui m’est très chère : Nous te ramenons.

Je travaille aussi sur ce qui devrait être un album. Mes “prods” sont meilleures, je m’améliore, j’ai hâte de vous faire entendre ça. Il faudra attendre encore un peu, mais j’ai beaucoup de temps pour créer, alors ça pourrait aller plus vite que prévu. Avoir gagné le “Lucien” pour l’album indie-pop m’a vraiment fait plaisir et me motive à me dépasser.

Sous le béret de Zéa Beaulieu-April, je me prépare à célébrer les 10 ans de mon premier recueil de poésie, Goulka, en mars. Pour l’occasion, je mijote un petit quelque chose… D’ailleurs, je ne serai pas la seule à fêter l’anniversaire d’un recueil de poésie…

J’ai aussi un essai en chemin, qui concerne aussi Odile’s Snake parce qu’il est composé de fragments sur la magie. J’ai commencé le travail dans la revue Zinc et Tristesse, et je travaille présentement avec une éditrice…

J’ai été invité à écrire dans deux revues culturelles, alors si j’arrive à répondre aux attentes, c’est ce que vous devriez être en mesure de lire le plus rapidement.

Pour Joséane Beaulieu-April, rien à venir imminemment, mais en décembre dernier j’ai fait partie d’un comité d’évaluation pour une revue universitaire, ce qui était une première. J’ai aussi été invité à participer à une table ronde en mai.

Bref, je ne m’ennuie pas, mais je ne sors pas beaucoup de ma tanière. Ça me va parfaitement bien, j’ai un vieux chat malade de qui je prends grand soin et qui prend grand soin de moi.